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FOIRE AUX QUESTIONS

 

 

  • Sainte Hildegarde a-t-elle soignée avec les remèdes dont elle parle ?

Non, elle n’a jamais soigné avec la science médicale qui lui a été révélée. De son vivant, elle a opéré des guérisons miraculeuses par la grâce de Dieu comme de nombreux saints l’on fait.

 

  • Quel rapport entre ses visions et les maladies de son temps ?

Les maladies que décrit Hildegarde correspondent aux maladies de notre temps (maladies dites de « civilisation »). La visionnaire a été le messager d’une thérapie destinée à un autre temps que le sien et ce temps, les recherches scientifiques allemandes et autrichiennes l’attestent. En effet, les maladies décrites, certains légumes que nous mangeons de nos jours, la pollution… font référence à ce que nous vivons aujourd’hui.

 

  • Ses remèdes ont-ils été testés depuis 900 ans ?

Non, ses écrits sont tombés dans l’oubli durant 8 siècles et n’ont été redécouverts qu’avant la seconde guerre mondiale. Les remèdes ont été utilisés par le Dr Hertzka, pionnier en la matière, déjà durant la guerre. La recherche concernant les écrits de science médicale d’Hildegarde de Bingen s’est largement

développée après la guerre en particulier en Allemagne, et ce avec la collaboration du Dr Strehlow. Les investigations allemandes ont débuté il y a plus de 70 ans et se sont étendues également en Autriche il y a presque 40 ans avec l’entreprise Posch spécialisée dans la fabrication des produits hildegardiens.

 

  • Les traductions sont-elles fiables ?

Les traductions de l’allemand en français comportent parfois certaines erreurs de différents types :

            - Le nom de la plante est erroné aussi bien en latin qu’en français

            - Si le nom latin est exact, le nom français peut ne pas lui correspondre

            - Confusion entre certaines plantes très proches l’une de l’autre : ex le hêtre (die Buche) et la charmille (die Hainbuche).

 

  • Y-a-t-il des plantes toxiques chez Hildegarde ?

Certaines parties de plantes le sont en effet mais Hildegarde utilise toujours la partie non toxique de celle-ci. A l’inverse, certaines plantes ne sont pas considérées comme toxiques par la phytothérapie classique, alors que selon Hildegarde, elles peuvent être déconseillées pour des raisons motivées (ex. la verge d’or).

Il s’agit donc de se conformer fidèlement aux indications d’Hildegarde et aux recommandations précieuses des Docteurs Hertzka et Strehlow ainsi qu’à d’autres spécialistes en Europe (Autriche, Belgique, chez nous en France aussi), qui en ont l’expérience.

 

  • Les remèdes d’Hildegarde peuvent-ils être assimilés à des remèdes de grands-mères ?

Les remèdes de grands-mères ont un intérêt certain. Cependant ceux conseillés par Hildegarde sont rattachés à « la subtilité » de la plante, c’est-à-dire la force curative qu’elle contient, selon un mode opératoire précis qui varie selon l’affection.

 

  • Ces remèdes conviennent-ils aux femmes enceintes et aux enfants ?

Bien sûr ! il s’agit de faire le bon choix parmi  les nombreux remèdes et de les adapter à la personne. Le diagnostic d’un médecin est, cependant indispensable dès qu’il s’agit d’une pathologie.

 

  • Peut-on fabriquer un remède si on n’arrive pas à se procurer un des ingrédients de la liste nécessaire à sa réalisation ? peut-on remplacer un ingrédient par un autre ?

Il faut absolument tous les ingrédients de la liste dans les proportions indiquées.

Ex : si Hildegarde demande certaines graisses pour ses pommades c’est qu’elles sont absolument nécessaires pour obtenir le soulagement dont elle parle.

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